Georges Vittecoq, un pensionnaire de la maison de retraite BTP, rue du Madrillet à 76800 Saint-Etienne-du-Rouvray, en France, a fait paraître le 8 août 2006 un article intitulé "Georges Vittecoq solide comme un chêne" dans la version papier du quotidien Paris-Normandie. "Le papier portait sur ma passion pour la décoration de feuilles de chêne", nous explique l'homme, âgé de 98 ans.
"Quelques semaines après la publication de l'article, un jeune homme est venu me voir. C'était un neveu de Maria. Elle lui avait demandé de me rendre visite après avoir vu ma photo dans le journal. Quel choc !"
Le problème, c'est que Georges Vittecoq a oublié de demander les coordonnés de Maria à ce neveu. "Tout est allé si vite", regrette-t-il.
"Quelques semaines après la publication de l'article, un jeune homme est venu me voir. C'était un neveu de Maria. Elle lui avait demandé de me rendre visite après avoir vu ma photo dans le journal. Quel choc !"
Le problème, c'est que Georges Vittecoq a oublié de demander les coordonnés de Maria à ce neveu. "Tout est allé si vite", regrette-t-il.
Aujourd'hui Georges est à la recherche de Maria qui fut son amour de jeunesse.
Nous avons tous connu cette situation et beaucoup d'entre nous ont effectivement essayé, un jour ou l'autre, de renouer le contact avec leur premier amour.
Ce blog étant lu quotidiennement par une centaine de Français, il m'a paru opportun de relayer la quête touchante de ce vieil homme et les informations publiées par ce quotidien.
Petites annonces
"J'ai fait passer trois annonces dans le journal et consulté les listes électorales et d'état civil", confie-t-il. "Mais je ne l'ai pas retrouvée. Je sais que mon père serait très heureux de la revoir, alors je n'abandonne pas."
Il y a cinquante ans, rue d'Alger, Georges et Maria se sont aimés pendant deux ans lorsqu'ils étaient adolescents. Puis, Georges a rompu.
"Je l'ai quittée lorsque j'avais dix-huit ans", se souvient Georges. "Je sais qu'elle l'a mal vécu et qu'elle aurait même coupé ses longs cheveux châtains à cause de moi. La dernière fois que je l'ai aperçue, c'était rue d'Alger, il y a cinquante ans. Dans quelques mois, elle aura cent ans. J'aimerais être à ses côtés pour fêter ça."
Si Georges parvient à retrouver Maria, il promet de lui offrir une feuillle de chêne décorée en souvenir de leurs amours passées.
Petites annonces
"J'ai fait passer trois annonces dans le journal et consulté les listes électorales et d'état civil", confie-t-il. "Mais je ne l'ai pas retrouvée. Je sais que mon père serait très heureux de la revoir, alors je n'abandonne pas."
Il y a cinquante ans, rue d'Alger, Georges et Maria se sont aimés pendant deux ans lorsqu'ils étaient adolescents. Puis, Georges a rompu.
"Je l'ai quittée lorsque j'avais dix-huit ans", se souvient Georges. "Je sais qu'elle l'a mal vécu et qu'elle aurait même coupé ses longs cheveux châtains à cause de moi. La dernière fois que je l'ai aperçue, c'était rue d'Alger, il y a cinquante ans. Dans quelques mois, elle aura cent ans. J'aimerais être à ses côtés pour fêter ça."
Si Georges parvient à retrouver Maria, il promet de lui offrir une feuillle de chêne décorée en souvenir de leurs amours passées.
Pour ceux qui le connaisse ou des membres de sa famille, voici son arbre généaologique. Contactez le journal Paris-Normandie ou contactez la maison de retraite BTP (Tél. 02 35 64 31 31, Fax 02 35 64 15 30) si vous avez plus d'information.
Dernières nouvelles
La télévision belge RTL-TVI a fait un reportage sur Georges Vittecoq le 30 août 2007. Maria ne s'est pas encore manifestée.
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire