Dimanche 15 juillet 2007, le groupe Cactus fêtera en grande pompe son 40eme anniversaire au centre de loisirs de Kockelscheuer au Luxembourg. Pour ce Yuppileum, - comme Yuppi, sa mascotte -, le N°.1 de l'alimentation grand-ducale mettra les petits plats dans les grands et sortira ses beaux couverts pour remercier sa clientèle fidèle, pour laquelle le mot "Cactus" est synonyme de grand magasin de qualité pour tous les habitants de la Grande région.
Quel habitant des Ardennes françaises, de la Sarre, de la province de Luxembourg ou même de Namur n'a pas flâné un jour à "La Belle Étoile" de Bertrange, à la recherche d'un alcool, de fruits, de crustacés voire même d'un restaurant (à l'étage) ? Le Cactus de "La Belle Etoile" est en effet le plus grand des 22 magasins Cactus, proposant plus de 100000 produits sur 120000 m2. Le service offert par le personnel y est par ailleurs excellent.
Histoire d'une réussite
C'est en 1967 que la famille Leesch ouvre son premier "Cactus" à Bereldange, aboutissement à l'échelon national d'une aventure qui a débuté avec le siècle dernier, lorsque Joseph Leesch s'est installé comme épicier. Les enfants de Joseph, Arthur, Jacques et Aloyse, fonderont une société, "Leesch Frères". La corne d'abondance n'arrêtera dès lors plus de profiter à la famille. En 1930, les frères se lancent dans la torréfaction. En 1955, arrive déjà la troisième génération, Arthur, Paul et Alfred. En 1967, un premier supermarché voit le jour. Quand ils lancent "Cactus", les frères Leesch ont compris une chose : l'ère de la grande distribution a sonné et ceux qui n'avancent pas dépériront.
On connaît la suite. La roue de la fortune sourit à la famille Leersch. Au début des années 1970, le shopping center de Bertrange fait des émules : un GB s'ouvre à Arlon route de Longwy, Carrefour suivra à Messancy. Les clients venant à Bertrange découvrent, émerveillés, une grande surface flanquée d'une galerie marchande qui accueille des expositions internationales, certaines de prestige. Du jamais vu ! Le "Cactus" devient une destination régulière, tant pour ses emplettes que pour la promenade !
Depuis, Cactus n'a plus cessé de grandir. «Ce n'est pas un hasard. Le cactus est une plante résistante, qui survit à tout et n'a besoin que de peu d'eau. Et si on la touche, elle pique !» souligne Henri Jungels, directeur marketing. Il est vrai qu'en 1967, Dutronc chante "Les Cactus" et que le refrain n'est peut-être pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Mais le lien appartient à la légende.
En attendant, de nouveaux Cactus s'ouvrent un peu partout au Grand-Duché : à Mersch (1978), à Bettembourg et Diekirch (1980), à Pétange (1982), à Remich (1983), etc. En 1989, les activités d'achat, de distribution, de torréfaction et d'administration sont regroupées à Windhof, à quelques kilom!tres de Steinfort et d'Arlon. En 2002, lorsque Paul Leesch prend sa retraite, il confie les clés de la maison à Max, son fils. La "quatrième génération de cactus" prend la relève !
"Cactus fait partie de l'histoire du Grand-Duché", affirme Henri Jungels. "Notre enseigne est leader depuis toujours, sur un marché en constante évolution. Je pense que Cactus est parvenu à tisser des liens très forts avec sa clientèle. La preuve, c'est sa fidélité. Je parlerai de relation intime, privilégiée avec le client. Cela tient aussi au fait que Cactus reste une entreprise familiale. D'ailleurs, notre fête, Yuppileum, dimanche à Kockelscheuer, est aussi une fête de famille, et pour toute la famille!".
Histoire d'une réussite
C'est en 1967 que la famille Leesch ouvre son premier "Cactus" à Bereldange, aboutissement à l'échelon national d'une aventure qui a débuté avec le siècle dernier, lorsque Joseph Leesch s'est installé comme épicier. Les enfants de Joseph, Arthur, Jacques et Aloyse, fonderont une société, "Leesch Frères". La corne d'abondance n'arrêtera dès lors plus de profiter à la famille. En 1930, les frères se lancent dans la torréfaction. En 1955, arrive déjà la troisième génération, Arthur, Paul et Alfred. En 1967, un premier supermarché voit le jour. Quand ils lancent "Cactus", les frères Leesch ont compris une chose : l'ère de la grande distribution a sonné et ceux qui n'avancent pas dépériront.
On connaît la suite. La roue de la fortune sourit à la famille Leersch. Au début des années 1970, le shopping center de Bertrange fait des émules : un GB s'ouvre à Arlon route de Longwy, Carrefour suivra à Messancy. Les clients venant à Bertrange découvrent, émerveillés, une grande surface flanquée d'une galerie marchande qui accueille des expositions internationales, certaines de prestige. Du jamais vu ! Le "Cactus" devient une destination régulière, tant pour ses emplettes que pour la promenade !
Depuis, Cactus n'a plus cessé de grandir. «Ce n'est pas un hasard. Le cactus est une plante résistante, qui survit à tout et n'a besoin que de peu d'eau. Et si on la touche, elle pique !» souligne Henri Jungels, directeur marketing. Il est vrai qu'en 1967, Dutronc chante "Les Cactus" et que le refrain n'est peut-être pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Mais le lien appartient à la légende.
En attendant, de nouveaux Cactus s'ouvrent un peu partout au Grand-Duché : à Mersch (1978), à Bettembourg et Diekirch (1980), à Pétange (1982), à Remich (1983), etc. En 1989, les activités d'achat, de distribution, de torréfaction et d'administration sont regroupées à Windhof, à quelques kilom!tres de Steinfort et d'Arlon. En 2002, lorsque Paul Leesch prend sa retraite, il confie les clés de la maison à Max, son fils. La "quatrième génération de cactus" prend la relève !
"Cactus fait partie de l'histoire du Grand-Duché", affirme Henri Jungels. "Notre enseigne est leader depuis toujours, sur un marché en constante évolution. Je pense que Cactus est parvenu à tisser des liens très forts avec sa clientèle. La preuve, c'est sa fidélité. Je parlerai de relation intime, privilégiée avec le client. Cela tient aussi au fait que Cactus reste une entreprise familiale. D'ailleurs, notre fête, Yuppileum, dimanche à Kockelscheuer, est aussi une fête de famille, et pour toute la famille!".
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire