Le Tour de France à vélo n'est pas une sinécure ! Ceux qui pensent qu'ils peuvent y arriver avec un minimum d'effort connaissent très mal la difficulté du Tour. Car si chacun peut sans doute parcourir 1 km à 40 km/h, parcourir jusqu'à 240 km à la même vitesse moyenne comme on le voit dans certaines étapes, va éliminer le commun des mortels !
Et n'essayez pas de tricher en vous dopant à coup d'amphétamines ou de stéroïdes anabolisants, ils sont interdits d'entrée de jeu et vous serez exclu de la course et peut-être radié à vie des compétitions !
A ce jour, la vitesse moyenne la plus élevée au Tour de France fut de 41.657 km/h, record établi par Lance Armstrong en 2005 (mais soupçonné de dopage aux stéroïdes). Au cours d'une étape, la vitesse la plus élevée pour une équipe fut établie par Discovery Channel avec 57.31 km/h lors du contre-la-montre en 2005. La vitesse moyenne la plus faible fut de 23.971 km/h établie par Ottavio Bottecchia en 1924. Depuis 1903, la vitesse moyenne du vainqueur du Tour du France a pratiquement doublé !
Rappelons que les organisateurs du Tour accordent une journée de repos aux cyclistes après les étapes de montagne où plus d'un sportif craquent tellement l'effort est soutenu. Localement, ils doivent gravir et souvent sous le Soleil, des cols de 3eme et 4eme catégorie présentant des déclivités de 5 à 7°, sans parler des faux plats !
Des sportifs de haut niveau, entraînés depuis des années à ce sport et des sprinters qualifiés comme Michael Rogers, vainqueur à trois reprises du contre-la-montre, ont mordu le macadam ou ont dû abandonner le Tour de France, n'étant pas au meilleur de leur forme pour franchir toutes les difficultés de cette course qui ne retient que les meilleurs. Ce n'est pas sans raison que même les coureurs et même les champions ont envie de se doper, mais ils connaissent aussi la sanction.
Rappelons que les organisateurs du Tour accordent une journée de repos aux cyclistes après les étapes de montagne où plus d'un sportif craquent tellement l'effort est soutenu. Localement, ils doivent gravir et souvent sous le Soleil, des cols de 3eme et 4eme catégorie présentant des déclivités de 5 à 7°, sans parler des faux plats !
Des sportifs de haut niveau, entraînés depuis des années à ce sport et des sprinters qualifiés comme Michael Rogers, vainqueur à trois reprises du contre-la-montre, ont mordu le macadam ou ont dû abandonner le Tour de France, n'étant pas au meilleur de leur forme pour franchir toutes les difficultés de cette course qui ne retient que les meilleurs. Ce n'est pas sans raison que même les coureurs et même les champions ont envie de se doper, mais ils connaissent aussi la sanction.
A peine était-il commencé, que le Tour de France 2007 a déjà eu son lot de sacrifices. Parmi les coureurs ayant perdu pied et qui furent contraints d'abandonner à mi-parcours, citons Gonzalo Ramirez (Agritubel), Brett Lancaster (Team Milram), Tomas Vaitkus (Discovery Channel), Eduardo Gonzalo (Agritubel), Stewart O'Grady (Cofidis), Ivan Parra (Cofidis), Xabier Zandio (Caisse d'Epargne), Michael Rogers (T-Mobile), Markus Burghardt (T-Mobile), Mark Cavendish (T-Mobile), ... La plupart perdent évidemment sur chute mais quelques uns ne résistent pas à la difficulté des étapes, même supportés par le peloton. On peut leur rendre hommage pour l'effort qu'ils ont fourni et plus encore au Maillot jaune qui remporte la victoire.
Quant à la question du dopage des sportifs, nous lui consacrerons un article.
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