Nikon vient de publier quelques photographies réalisées avec le nouveau réflex Nikon D3, sorti voici quelques semaines, en même temps que le D300.
Le photographe Sonoe a poussé le D3 entre 400 et 6400 ISO, estimant qu'aux plus faibles sensibilités, l'oeil humain était incapable de distinguer la moindre perte de définition.
Et en effet, ce n'est qu'à partir de 400 ISO qu'une analyse de l'histogramme révèle une perte de détails dans les ombres profondes (arrière-plan très foncé par exemple).
On constate que le bruit électronique (équivalent au grain en argentique) n'apparaît vraiment qu'à partir de 3200 ISO, ouvrant la voie à des photographies nocturnes ou sous éclairage tamisé dont le piqué n'a encore jamais été égalé à ces sensibilités.
On constate que le bruit électronique (équivalent au grain en argentique) n'apparaît vraiment qu'à partir de 3200 ISO, ouvrant la voie à des photographies nocturnes ou sous éclairage tamisé dont le piqué n'a encore jamais été égalé à ces sensibilités.
Tudor Raiciu, rédacteur et photographe chez Softpédia a réalisé de son côté quelques essais et explique que la qualité des images du Nikon D3 l'a littéralement soufflé, dépassant largement les performances du Nikon D200 ou du Canon EOS 5D.
Notons toutefois que le D3 et le D200 ne jouent pas dans la même catégorie. Il aurait été plus utile de comparer le D3 avec le D2Xs !
Si cela était encore nécessaire, voilà un bon coup de pub pour Nikon !
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