Le 22 avril 2007, quelque 44.5 millions d'électeurs auxquels il faut ajouter quelque 800000 électeurs français vivant à l'étranger dont 70000 résidant en Belgique iront voter pour le 1er tour des électrons présidentielles française. Selon les sondages quatre candidats se démarquent avec par ordre d'importance : Nicolas Sarkozy (29% des prétentions de vote), Ségolène Royal (27%), François Bayrou (17%) et Jean-Marie Le Pen (12%).
Si Nicolas Sarkozy semble le mieux placer pour gagner ces élections, certains n’hésitent pas à dire que les deux challengers ont presque autant de chance et qu’il n’est pas impossible par exemple qu’on se trouve au 1er tour dans une situation équivalente à celle de 2002 où il eut près de 50% d’indécis et 22% d'abstention ce qui conduisit Jean-Marie Le Pen à deux doigts du pouvoir (17% pour Jean-Marie Le Pen contre 20% pour Jacques Chirac).
Cette fois, du fait que les sondages annoncent que 30% des électeurs n’auraient pas encore fait leur choix, certains estiment qu’il n’est pas impossible qu’on assiste à un affrontement entre Nicolas Sarkozy et… Jean-Marie Le Pen. Mais tous les experts vous diront que les sondages ont un degré de précision incertain car ils sont basés sur un échantillon limité de personnes et sur le seul avis des personnes sondées. Par nature il est donc impossible de sonder ceux qui refusent d’être sondés ! Les résultats doivent donc être corrigés et complétés pour tenir compte des 50% d’électeurs qui refusent de répondre ou qui mentent sciemment sur leurs intentions de vote. Les sondages sont donc toujours biaisés par nature. Aussi, aujourd’hui les journalistes sont-ils plus critiques vis-à-vis des sondages. Quel candidat entrera dans l’histoire ? Seul les électeurs en décideront. Voyons en résumé le profil des quatres candidats favoris. Honneur aux femmes.
Si Nicolas Sarkozy semble le mieux placer pour gagner ces élections, certains n’hésitent pas à dire que les deux challengers ont presque autant de chance et qu’il n’est pas impossible par exemple qu’on se trouve au 1er tour dans une situation équivalente à celle de 2002 où il eut près de 50% d’indécis et 22% d'abstention ce qui conduisit Jean-Marie Le Pen à deux doigts du pouvoir (17% pour Jean-Marie Le Pen contre 20% pour Jacques Chirac).
Cette fois, du fait que les sondages annoncent que 30% des électeurs n’auraient pas encore fait leur choix, certains estiment qu’il n’est pas impossible qu’on assiste à un affrontement entre Nicolas Sarkozy et… Jean-Marie Le Pen. Mais tous les experts vous diront que les sondages ont un degré de précision incertain car ils sont basés sur un échantillon limité de personnes et sur le seul avis des personnes sondées. Par nature il est donc impossible de sonder ceux qui refusent d’être sondés ! Les résultats doivent donc être corrigés et complétés pour tenir compte des 50% d’électeurs qui refusent de répondre ou qui mentent sciemment sur leurs intentions de vote. Les sondages sont donc toujours biaisés par nature. Aussi, aujourd’hui les journalistes sont-ils plus critiques vis-à-vis des sondages. Quel candidat entrera dans l’histoire ? Seul les électeurs en décideront. Voyons en résumé le profil des quatres candidats favoris. Honneur aux femmes.
Ségolène Royal
C’est la première candidate féminine mais son image médiatique est fade et son discours manque de convictions et de rigueur. Elle manque surtout tout de charisme pour rassembler la France autour d’une seule idée. On la dit également autoritaire et faisant peu de cas de l'avis de son entourage, ce qui en dit long sur son éventuelle diplomatie. Candidate superfavorite jusqu'en 2006, sa compagne a déstabilisé les électeurs. Elle n’a pas réussi à rallier à sa cause de grands électeurs de gauche ni de droite. Elle s’oppose farouchement à la France libérale, anti sociale et autoritaire que défend Nicolas Sarkozy. Elle représente le Parti Socialiste (PS) et est soutenue par le Parti Radical de Gauche de Jean-Michel Baylet et le Mouvement Républicain et Citoyen (MRC) anciennement représenté par Jean-Pierre Chevènement et aujourd’hui par Georges Sarre.
Nicolas Sarkozy
candidat favori de la droite, c’est l'homme à abattre, un homme autoritaire bien décidé à faire de la France un pays où chacun sera rémunéré à hauteur de son travail. Son programme politique a empiété sur celui de Jean-Marie Le Pen. Des rumeurs sur la brutalité supposée et la personnalité dangereuse de Sarkozy inquiètent son entourage. Il porte également un regard intolérant sur les immigrés, autant d’indices malvenus dans une Europe communautaire et tolérante. Il représente l’Union pour un Mouvement Populaire (UMP), regroupe le RPR et Démocratie libérale. Il est soutenu par le Président Jacques Chirac.
François Bayrou
challenger, il se définit comme une force tranquille et en a le profil. Certains y voient la 3eme voie, d’autre la 3eme roue du carrosse. En tous cas il prône la révolution sans les risques de la révolution Il marque sa différence en chantant non pas la Marseillaise mais "Montagnes Pyrénées” en béarnais. Centriste, il représente l’Union pour la Démocratie Française (UDF).
Jean-Marie Le Pen
raciste et xénophobe, intolérant et souhaitant rendre la France aux Français il s’attire les électeurs d’extrême-droite et, dit-on, tous ceux qui sont déçus par la situation socio-économique actuelle du pays. Il a fait une campagne discrète mais apparut gonflé à bloc, sûr de se retrouver comme en 2002, au 2eme tour. La chute sera sans doute encore plus dure. Il représente le Front National (FN). Il est soutenu par le Mouvement National Républicain et le Parti Populiste.
Enfin, il y a huit autres candidats plus ou moins concernés par l’écologie, l'identité française, les principes du communisme ou la ruralité. Selon les sondages, ces petits candidats représentent entre 1 et 4% des voix, des "grains de sable" dans la mécanique bien rodée des quatre principaux candidats.
Plus d'infos sur les sites Présidentielle 2007 et Wikipédia.
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