Alors que jusqu'ici le Président américain George W. Bush Jr, a toujours montré son opposition à réagir face à l'augmentation de l'effet de serre, alors que son pays est le plus grand pollueur du monde, le voilà aujourd'hui convaincu qu'il est temps de faire un effort !
Le Président Bush a appelé les Grandes Puissances mondiales à une conférence internationale sur le changement climatique à Washington les 27 et 28 septembre 2007, a annoncé aujourd'hui la Maison Blanche dans un communiqué. Le but de la conférence sera de fixer un objectif à long terme de réduction des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique.
Le Président Bush s'est mis d'accord avec les autres dirigeants du G8 en juin de faire un effort "substantiel", sans préciser quelles réductions il ferait pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, et négocier un nouveau pacte climatique global qui étendrait l'application du protocole de Kyoto, ratifié en 1998 (mais qui n'entra en vigueur qu'en 2005), au-delà de 2012.
Toutefois, le Président Bush a refusé de définir un objectif chiffré avant que les Grandes Puissances comme la Chine et l'Inde ne montrent l'exemple.
Le Président Bush a invité à cette réunion, outre les Etats-Unis, les représentants de 15 pays : l'Afrique du Sud, l'Allemagne, l'Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, la Corée du Sud, la France, la Grande-Bretagne, l'Inde, l'Indonésie, l'Italie, le Japon, le Mexique, la Russie, la Commission Européenne et l'ONU.
Le Président Bush a appelé les Grandes Puissances mondiales à une conférence internationale sur le changement climatique à Washington les 27 et 28 septembre 2007, a annoncé aujourd'hui la Maison Blanche dans un communiqué. Le but de la conférence sera de fixer un objectif à long terme de réduction des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique.
Le Président Bush s'est mis d'accord avec les autres dirigeants du G8 en juin de faire un effort "substantiel", sans préciser quelles réductions il ferait pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, et négocier un nouveau pacte climatique global qui étendrait l'application du protocole de Kyoto, ratifié en 1998 (mais qui n'entra en vigueur qu'en 2005), au-delà de 2012.
Toutefois, le Président Bush a refusé de définir un objectif chiffré avant que les Grandes Puissances comme la Chine et l'Inde ne montrent l'exemple.
Le Président Bush a invité à cette réunion, outre les Etats-Unis, les représentants de 15 pays : l'Afrique du Sud, l'Allemagne, l'Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, la Corée du Sud, la France, la Grande-Bretagne, l'Inde, l'Indonésie, l'Italie, le Japon, le Mexique, la Russie, la Commission Européenne et l'ONU.
Dans son invitation, le Président Bush a précisé que "les Etats-Unis s'engagent à collaborer avec d'autres Grandes Puissances pour contribuer de manière précise à un nouveau cadre mondial d'ici à la fin 2008", afin de participer à un accord international dans le cadre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) d'ici à 2009.
Le Président américain, fréquemment accusé en Europe de traîner des pieds pour infléchir le changement climatique, a dit qu'il interviendrait lors de cette conférence, qui sera présidée par la Secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice.
Le Président Bush a reconnu que les principaux dirigeants européens avaient "montré une grande responsabilité et un grand intérêt dans la question du changement climatique", raison pour laquelle il les a personnellement invités à cette conférence.
Rappelons que c'est au cours de la Conférence de Montréal qui s'est tenue en 2005 (UNCCC et Conférence des Parties COP 11 et COP/MOP 1), à laquelle participèrent 150 pays, que la participation concrète des Etats-Unis a permis aux acteurs de Kyoto de poursuivre leurs efforts après 2012.
Ceci dit, outre les Etats-Unis, la Chine et l'Inde, une poignée de pays n'ont toujours pas ratifié le protocole de Kyoto. Parmi les 141 membres, l’Australie, la Croatie, le Kazakhstan, Monaco et la Zambie doivent encore le ratifier.
Ainsi que nous l'évoquions dans l'article consacré à l'après-Kyoto, il est probable qu'à travers l'action de portes-paroles tel Al Gore et quelques gouverneurs influants, la population américaine a finalement forcé l'Administration Bush a changé de politique.
Le Président Bush a reconnu que les principaux dirigeants européens avaient "montré une grande responsabilité et un grand intérêt dans la question du changement climatique", raison pour laquelle il les a personnellement invités à cette conférence.
Rappelons que c'est au cours de la Conférence de Montréal qui s'est tenue en 2005 (UNCCC et Conférence des Parties COP 11 et COP/MOP 1), à laquelle participèrent 150 pays, que la participation concrète des Etats-Unis a permis aux acteurs de Kyoto de poursuivre leurs efforts après 2012.
Ceci dit, outre les Etats-Unis, la Chine et l'Inde, une poignée de pays n'ont toujours pas ratifié le protocole de Kyoto. Parmi les 141 membres, l’Australie, la Croatie, le Kazakhstan, Monaco et la Zambie doivent encore le ratifier.
Ainsi que nous l'évoquions dans l'article consacré à l'après-Kyoto, il est probable qu'à travers l'action de portes-paroles tel Al Gore et quelques gouverneurs influants, la population américaine a finalement forcé l'Administration Bush a changé de politique.
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