La chaîne de TV allemande ProSieben diffuse ce 10 novembre 2007 à partir de 22h10 deux films culte de science-fiction : "Immortel" et "Final Fantasy", tous deux faisant appel à des images de synthèse.
IMMORTEL Ad Vitam
IMMORTEL Ad VitamRéalisé par Enki Bilal en 2003, il s'agit d'une adaptation de la bande dessinée culte, la trilogie "Nikopol" mélangeant dans un seul film les intrigues de "La Foire aux immortels" et "La Femme piège".
Synopsis
Nous sommes à New York en 2095. La pyramide des divinités égyptiennes flotte au-dessus de Manhattan. Jill Bioskop pleure des larmes bleues. Pour elle, le dieu Horus à tête de faucon a traversé l'univers. Horus n'a que sept jours pour sauver son immortalité. Il doit ainsi trouver Jill dans le labyrinthe de cette mégapole, et la séduire. Mais avant cela, il doit se réincarner dans un corps humain sain: ce sera celui d'un prisonnier politique, Acilde Nikopol, déporté dans une prison orbitale. Un étrange ménage à trois se forme.
Critique
Nous sommes à New York en 2095. La pyramide des divinités égyptiennes flotte au-dessus de Manhattan. Jill Bioskop pleure des larmes bleues. Pour elle, le dieu Horus à tête de faucon a traversé l'univers. Horus n'a que sept jours pour sauver son immortalité. Il doit ainsi trouver Jill dans le labyrinthe de cette mégapole, et la séduire. Mais avant cela, il doit se réincarner dans un corps humain sain: ce sera celui d'un prisonnier politique, Acilde Nikopol, déporté dans une prison orbitale. Un étrange ménage à trois se forme.
Critique
L'adaptation est fidèle aux bandes dessinées, de même que certaines scènes reproduites à l'identique des planches de dessins. 
L'auteur mêle des personnages réels et des personnages de synthèse (le sénateur Allgood Jr. et son assistante). On peut toutefois regretter ce mélange car le rendu numérique est de qualité très moyenne, à peine digne d'un jeu vidéo.
Le scénario est également confus, Enki Bilal se perdant dans des récits parallèles qui font perdre au spectateur le fil de l'histoire.
Heureusement, le trio formé par Jill la mutante, Nikopol l'humain et le dieu Horus en quête d'immortalité maintient l'intérêt du film et tire l'œuvre vers une poésie inattendue supportée par un décor très imaginatif et fantastique.
L'auteur mêle des personnages réels et des personnages de synthèse (le sénateur Allgood Jr. et son assistante). On peut toutefois regretter ce mélange car le rendu numérique est de qualité très moyenne, à peine digne d'un jeu vidéo.
Le scénario est également confus, Enki Bilal se perdant dans des récits parallèles qui font perdre au spectateur le fil de l'histoire.
Heureusement, le trio formé par Jill la mutante, Nikopol l'humain et le dieu Horus en quête d'immortalité maintient l'intérêt du film et tire l'œuvre vers une poésie inattendue supportée par un décor très imaginatif et fantastique.
Acteurs et Actrices : Linda Hardy, Charlotte Rampling, Thomas Kretschmann, Jean-Louis Trintignant.
Le site web : Immortel
FINAL FANTASY, les créatures de l'espritRéalisé par Hironobu Sakaguchi en 2001, c'est un film d'animation totalement réalisé sur ordinateur.
Synopsis
SynopsisNous sommes sur Terre, en l'an 2065. La chute d'une météorite, il y a plus d'une trentaine d'années, a provoqué une invasion de spectres extraterrestres qui se nourrissent de l'énergie provenant de toute forme de vie terrestre.
La population humaine est presque anéantie. La plus grande confusion règne sur Terre. Les derniers survivants de l'humanité sont contraints de vivre retranchés dans des villes-boucliers. Seuls les plus résistants des humains survivent dans cet univers de désolation.
Aucun scientifique n'ayant réussi à trouver un moyen d'éliminer la menace causée par les envahisseurs, ces survivants vivent dans un climat de peur permanent.
Le destin de notre espèce repose sur le courage et la volonté de quelques-uns. Déjouant les complots, évitant les pièges, ils doivent réconquérir notre planète en usant de toutes les magies. Deux clans s'opposent sur la manière la plus efficace d'éliminer les spectres : les premiers, commandés par le Général Hein (de l'escadron Deep Eyes), sont convaincus que le seul moyen de libérer la Terre est de passer par une arme de destruction totale ; les autres, conduits par le docteur Aki Ross, une jeune scientifique, préconisent une voie plus philosophique : Aki Ross s'est mise en quête d'un remède "spirituel" à cette invasion. Convaincue de la véracité de la théorie Gaia formulée par le professeur Sid, qu'elle admire, elle part à la recherche de huit esprits qui pourraient bien mettre un terme à cette sombre époque... Mais depuis quelques temps, elle fait des rêves étranges. Que veulent-ils dire ? Le destin de l'humanité est entre ses mains.
Aucun scientifique n'ayant réussi à trouver un moyen d'éliminer la menace causée par les envahisseurs, ces survivants vivent dans un climat de peur permanent.
Le destin de notre espèce repose sur le courage et la volonté de quelques-uns. Déjouant les complots, évitant les pièges, ils doivent réconquérir notre planète en usant de toutes les magies. Deux clans s'opposent sur la manière la plus efficace d'éliminer les spectres : les premiers, commandés par le Général Hein (de l'escadron Deep Eyes), sont convaincus que le seul moyen de libérer la Terre est de passer par une arme de destruction totale ; les autres, conduits par le docteur Aki Ross, une jeune scientifique, préconisent une voie plus philosophique : Aki Ross s'est mise en quête d'un remède "spirituel" à cette invasion. Convaincue de la véracité de la théorie Gaia formulée par le professeur Sid, qu'elle admire, elle part à la recherche de huit esprits qui pourraient bien mettre un terme à cette sombre époque... Mais depuis quelques temps, elle fait des rêves étranges. Que veulent-ils dire ? Le destin de l'humanité est entre ses mains.
Le générique de fin "The Dream within" par Laura Fabian
Ce film d'animation démontre qu'il est parfaitement possible de réaliser un long métrage de qualité sans le moindre acteur !
La qualité des graphismes est remarquable tout comme les décors et l'univers de science-fiction. Toutefois, de temps en temps certains personnages sont un peu raide dans leur costume numérique ou portent des vêtements trop rigides, mais dans l'ensemble le réalisme est exceptionnel.
Notons qu'un second long métrage intitulé "Final Fantasy VII: Advent Children" est sorti en 2005 au Japon et en 2006 aux Etats-Unis.
Le site web : Final Fantasy, les créatures de l'esprit.
Critique
Bien qu'il soit adapté du jeu vidéo du même nom sorti en 1987, on ne retrouve dans ce film d'animation ni les personnages ni l'univers du jeu, mais cela n'enlève rien à la prouesse technique.
Ce film d'animation démontre qu'il est parfaitement possible de réaliser un long métrage de qualité sans le moindre acteur !
La qualité des graphismes est remarquable tout comme les décors et l'univers de science-fiction. Toutefois, de temps en temps certains personnages sont un peu raide dans leur costume numérique ou portent des vêtements trop rigides, mais dans l'ensemble le réalisme est exceptionnel.
Notons qu'un second long métrage intitulé "Final Fantasy VII: Advent Children" est sorti en 2005 au Japon et en 2006 aux Etats-Unis.
Le site web : Final Fantasy, les créatures de l'esprit. 
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