Depuis 1993, nous célébrons le 3 décembre la "Journée européenne de la personne handicapée".
L'événement doit être souligné car si les mentalités changent vers un mieux à l'égard des personnes handicapées, elles sont encore passablement ignorées dans beaucoup de secteurs de la vie, et plus encore quand elles deviennent adultes ou atteignent l'âge de la pension, où il n'existe pratiquement plus de structures spécialisées pouvant les accueillir.
Le même problème se pose dans les hôpitaux sans parler des nombreux employeurs qui refusent d'engager ces personnes du seul fait de leur handicap.
De tels constats sont scandaleux dans des Etats soid-disant de droits et nous devons tout faire pour changer les lois et les mentalités en appelant les gouvernements et la population à plus de considérations envers ces personnes.
Mais que peut-on faire en une journée sachant que les handicaps sont multiples et divers ? Cela va des handicapés sensoriels (malvoyants, malentendants, etc), aux handicapés moteurs (amputés, paralysés) en passant par les handicapés mentaux sans parler de toutes les personnes en convalescence.
De tels constats sont scandaleux dans des Etats soid-disant de droits et nous devons tout faire pour changer les lois et les mentalités en appelant les gouvernements et la population à plus de considérations envers ces personnes.
Mais que peut-on faire en une journée sachant que les handicaps sont multiples et divers ? Cela va des handicapés sensoriels (malvoyants, malentendants, etc), aux handicapés moteurs (amputés, paralysés) en passant par les handicapés mentaux sans parler de toutes les personnes en convalescence.
La première chose à faire est de sensibiliser votre entourage aux problèmes que rencontrent les personnes handicapées au quotidien : accès limité aux comptoirs, difficultés dans les ascenseurs, accès au téléphone public, problème de lecture des signaux routiers, non respect des réservations des places de parking, etc.
Combien de fois ne sommes-nous pas témoins de l’occupation d'un parking réservé à une personne à mobilité réduite par une voiture qui n'a pas le droit d’y être parquée ? L'excuse de dire "je ne savais pas" quand l'automobiliste roule sur le sigle ou "je n'en ai que pour 5 minutes" et refuser de déplacer sa voiture est une gifle au handicapé.
Combien de fois ne sommes-nous pas témoins de l’occupation d'un parking réservé à une personne à mobilité réduite par une voiture qui n'a pas le droit d’y être parquée ? L'excuse de dire "je ne savais pas" quand l'automobiliste roule sur le sigle ou "je n'en ai que pour 5 minutes" et refuser de déplacer sa voiture est une gifle au handicapé.
Pour ceux qui se déplacent sans difficulté, faire dix ou cinquante mètres de plus n'offre aucune difficulté. En revanche, pour un handicapé qui a déjà des difficultés pour marcher ou qui est paralysé, c'est un ennui majeur et quotidien. Mettez-vous à la place d'un handicapé, et vous comprendrez son sentiment.
Une solution pour remédier à cette situation serait d'autoriser la police à intervenir sur les parkings privés des surfaces commerciales pour mettre à l'amende les personnes en contravention qui ne respectent pas les sigles apposés au sol. Et cela concerne également les zones de déchargement des livreurs souvent occupées par des clients inciviques.
Le document présenté ci-dessus est une vignette créée par l'association française Adepa. Le message est clair. Si vous avez déjà constaté ce genre d'incivilité et souhaitez y remédier à votre mesure, l'association vous propose un lot de 12 vignettes pour 2 € payable par chèque ou timbre. Pensons aux handicapés. Leur mobilité dépend aussi de nous. Faites passer le message.
Une solution pour remédier à cette situation serait d'autoriser la police à intervenir sur les parkings privés des surfaces commerciales pour mettre à l'amende les personnes en contravention qui ne respectent pas les sigles apposés au sol. Et cela concerne également les zones de déchargement des livreurs souvent occupées par des clients inciviques.
Le document présenté ci-dessus est une vignette créée par l'association française Adepa. Le message est clair. Si vous avez déjà constaté ce genre d'incivilité et souhaitez y remédier à votre mesure, l'association vous propose un lot de 12 vignettes pour 2 € payable par chèque ou timbre. Pensons aux handicapés. Leur mobilité dépend aussi de nous. Faites passer le message.
bonjour, super interessant ton blog, je vais faire un lien pour faire lire cet article à tous ceux qui viennent sur mon blog......
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